Viser juste

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Pour atteindre une cible, vous avez besoin des outils et du savoir-faire. Il en va de même pour la planification de la croissance de la population – vous avez besoin de données et de connaissances sur la façon d'atteindre cet objectif. La plus récente série de l'Institut des politiques du Nord et du Réseau du Nord, Viser Juste : Objectifs de migration des locuteurs du français, de Mercedes Labelle, est l'outil pour effectuer ce travail.

Cette série d'articles indique combien de futurs migrants parlant le français et de migrants francophones devraient être ciblés pour maintenir les niveaux actuels dans le Nord de l'Ontario pour ces deux groupes. Si les communautés du Nord de l'Ontario ne maintiennent pas au moins la proportion actuelle de personnes d'expression française et de francophones dans le principal groupe d'âge actif (par la migration et la rétention), il se peut qu'il n'y ait pas suffisamment de travailleurs pour offrir des services en français au cours des prochaines années. La série Ambition détaille les cibles de migration d'entrée nécessaires sur une base régionale, avec 16 articles disponibles en anglais et en français.

Accédez à la série ci-dessous


La ville de Grand Sudbury, de 2016 à 2026

Par cette analyse de la population du noyau en âge de travailler, il est estimé que pour maintenir la proportion des locuteurs du français de 2016 dans le Grand Sudbury, il faudrait que 37,8 à 38,0 pour cent des futurs immigrants soient des locuteurs du français, à savoir une fourchette de 10 544 à 12 391 personnes. En revanche, 32,6 à 33,7 pour cent des futurs immigrants devraient être des francophones, afin de maintenir leur proportion actuelle de la population du noyau en âge de travailler, ce qui exige entre 9 405 et 10 616 immigrants. Ainsi, selon les objectifs, les professions qui exigent ou bénéficient actuellement des compétences linguistiques en français auront jusqu'en 2026 un bassin suffisant de personnes linguistiquement qualifiées et à employer.

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La ville de North Bay, de 2016 à 2026

Par cette analyse de la population du noyau en âge de travailler, il est estimé que pour maintenir la proportion des locuteurs du français de 2016 à North Bay, il faudrait que 21,2 à 21,3 pour cent des futurs immigrants soient des locuteurs du français, à savoir une fourchette de 3,442 à 3,598 personnes. En revanche, 16,4 à 16,6 pour cent des futurs immigrants devraient être des francophones, afin de maintenir leur proportion actuelle de la population du noyau en âge de travailler, ce qui exige entre 2 690 et 2 773 immigrants. Ainsi, selon les objectifs, les professions qui exigent ou bénéficient actuellement des compétences linguistiques en français auront jusqu'en 2026 un bassin suffisant de personnes linguistiquement qualifiées et à employer.

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La ville de Sault-Sainte-Marie, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse de la population du noyau en âge de travailler, le présent document estime que pour maintenir la proportion de 2016 chez les locuteurs du français à Sault Ste. Marie, il faudrait que 5,8 à 6,3 pour cent des futurs immigrants soient des locuteurs du français, soit une fourchette de 851 à 1 039. En revanche, 5,2 à 5,5 pour cent des futurs immigrants devraient être des francophones, afin de maintenir leur proportion actuelle de la population du noyau en âge de travailler, ce qui exige entre 812 et 865 immigrants. Ainsi, selon les objectifs, les professions qui exigent ou bénéficient actuellement des compétences linguistiques en français auront jusqu'en 2026 un bassin suffisant de personnes linguistiquement qualifiées et à employer.

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La ville de Thunder Bay, de 2016 à 2026

Par cette analyse de la population du noyau en âge de travailler, il est estimé que pour maintenir la proportion des locuteurs du français de 2016 à Thunder Bay, il faudrait que 3,3 à 3,5 pour cent des futurs immigrants soient des locuteurs du français, à savoir une fourchette de 774 à 863 personnes. En revanche, 3,6 à 3,7 pour cent des futurs immigrants devraient être des francophones, afin de maintenir leur proportion actuelle de la population du noyau en âge de travailler, ce qui exige entre 875 et 901 immigrants. Ainsi, selon les objectifs, les professions qui exigent ou bénéficient actuellement des compétences linguistiques en français auront jusqu'en 2026 un bassin suffisant de personnes linguistiquement qualifiées et à employer.

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La ville de Timmins, de 2016 à 2026

Par cette analyse de la population du noyau en âge de travailler, il est estimé que pour maintenir la proportion des locuteurs du français de 2016 à Timmins, il faudrait que 47,8 à 48,9 pour cent des futurs immigrants soient des locuteurs du français, à savoir une fourchette de 3 716 à 4 712 personnes. En revanche, 41,1 à 41,5 pour cent des futurs immigrants devraient être des francophones, afin de maintenir leur proportion actuelle de la population du noyau en âge de travailler, ce qui exige entre 3 231 et 3 961 immigrants. Ainsi, selon les objectifs, les professions qui exigent ou bénéficient actuellement des compé-tences linguistiques en français auront jusqu'en 2026 un bassin suffisant de personnes linguistiquement qualifiées et à employer.

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District de Algoma, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district d'Algoma en 2016, il est estimé qu'entre 9,3 pour cent et 9,7 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 1 412 à 1 658 personnes. D'autre part, entre 10,0 pour cent et 10,5 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 1 592 et 1 706 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Cochrane, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Cochrane en 2016, il est estimé qu'entre 57,6 pour cent et 57,8 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 5 589 à 5 766 personnes. D'autre part, entre 54,5 pour cent et 54,7 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 5 284 et 5 454 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Greater Sudbury, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district du Grand Sudbury en 2016, il est estimé qu'entre 37,3 pour cent et 37,7 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 7 431 à 9 695 personnes. D'autre part, entre 33,4 pour cent et 35,7 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 7 119 et 8 595 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Kenora, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Kenora en 2016, il est estimé qu'entre 4,0 pour cent et 4,1 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 412 à 442 personnes. D'autre part, entre 3,5 pour cent et 3,6 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 376 et 383 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Manitoulin, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Manitoulin en 2016, il est estimé qu'entre 7,2 pour cent et 7,6 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 198 à 227 personnes. D'autre part, entre 3,8 pour cent et 4,1 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 107 et 120 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Nipissing, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Nipissing en 2016, il est estimé qu'entre 33,2 pour cent et 33 3 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 5 135 à 5 175 personnes. D'autre part, entre 29,2 pour cent et 29,4 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 4 546 et 4 534 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Parry Sound, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Parry Sound en 2016, il est estimé qu'entre 6,3 pour cent et 6,5 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 705 à 815 personnes. D'autre part, entre 3,9 pour cent et 4,0 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 447 et 489 migrants d'entrée requis.

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District de Rainy River, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Rainy River en 2016, il est estimé qu'entre 3,0 pour cent et 3,1 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 83 à 97 personnes. D'autre part, entre 2,9 pour cent et 3,2 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 88 et 89 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Sudbury, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Sudbury en 2016, il est estimé qu'entre 34,0 pour cent et 34,1 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 1 577 à 1 643 personnes. D'autre part, entre 28,2 pour cent et 28,5 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 1 320 et 1 363 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Thunder Bay, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Thunder Bay en 2016, il est estimé qu'entre 4,7 pour cent et 5,1 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 933 à 1 116 personnes. D'autre part, entre 6,2 pour cent et 6,5 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 1 302 et 1 355 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français, ou en tirent avantage.

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District de Timiskaming, de 2016 à 2026

Lors de l'analyse du principal groupe d'âge actif, la recherche constate que pour maintenir la proportion de personnes parlant le français dans le district de Timiskaming en 2016, il est estimé qu'entre 34,0 pour cent et 34,1 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient parler le français, soit de 1 552 à 1 988 personnes. D'autre part, entre 27,8 pour cent et 29,3 pour cent des futurs migrants d'entrée devraient être francophones pour maintenir la proportion actuelle de la population francophone dans le principal groupe d'âge actif, ce qui représente entre 1 339 et 1 619 migrants d'entrée requis. Ainsi, si les cibles sont atteintes, le district pourra compter jusqu'en 2026 sur un bassin suffisant de personnes ayant les compétences linguistiques requises pour pourvoir les emplois qui exigent actuellement la connaissance du français,  ou en tirent avantage.

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Ce rapport a été créé dans le cadre du Projet coopératif d'analystes du Nord. Ce projet permet aux membres de mutualiser les services d'un analyste des politiques professionnel. En mettant en commun nos ressources, nous donnons aux plus petits villages ou organismes de bienfaisance locaux la possibilité d'accéder à une expertise haut de gamme à un prix abordable. Pour plus d'informations sur le programme, cliquez ici.