FedNor
FedNor : Il faut simplement que ce soit libre Vers une gouvernance plus stratégique et concertée du développement économique régional dans le Nord ontarien
Juin 2015 | Charles Conteh
Dans ce rapport, FedNor : It’s Just Got to be Free: Toward More Strategic and Collaborative Governance of Regional Economic Development in Northern Ontario (Fednor – Il faut simplement que ce soit libre – Vers une gouvernance plus stratégique et coopérative du développement économique régional dans le Nord ontarien), l'auteur Charles Conteh examine la structure existante de la FedNor et la compare à celle d'autres organismes de développement économique au Canada.
Conteh formule cinq grandes recommandations pour la restructuration de la FedNor :
1. Celle-ci devait être structurée afin qu'elle jouisse d'une latitude opérationnelle et d'une autonomie supérieures par rapport à Industrie Canada.
2. La FedNor devrait abandonner son approche existante axée sur les projets lors de l'octroi de diverses subventions à un grand nombre de projets et plutôt soutenir un plus petit nombre de gros investissements conçus pour renforcer la capacité de grappes économiques caractérisées par la valeur ajoutée et un niveau élevé de connaissances.
3. La FedNor devrait adopter officiellement le Plan de croissance pour le Nord de l'Ontario, comme cadre politique pour la région.
4. La FedNor devrait institutionnaliser une approche concertée pour la réalisation des programmes, en formulant des ententes détaillées et officielles de partenariat quinquennal avec le ministère du Développement du Nord et des Mines (MDNM) et la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l'Ontario (SGFPNO), aux fins de plus gros investissements qui favorisent les nouvelles priorités ciblées dans le Plan de croissance pour le Nord de l'Ontario.
5. Parce que le Nord ontarien n'est pas une région homogène, les ententes de partenariat devraient se concentrer sur le soutien des programmes SMART qui ont été relevés lors d'une consultation approfondie, en vue de la planification stratégique, et ce, par cinq zones ou sous-régions économiques régionales. Ces sous-régions économiques devraient former un partenariat avec les cinq villes majeures de la région et leurs collectivités voisines, afin de coordonner l'élaboration et la réalisation des programmes de développement économique.
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